Dans le dossier du quotidien Les Echos, Gestion d’actifs, Trésorerie d’entreprise du mardi 17 novembre, David Guyot, co-fondateur de Pandat, a été interrogé au sujet des conséquences des actions de la BCE sur les taux négatifs.
Les Echos ont sorti cette semaine le dossier de l’année pour les trésoriers d’entreprises : Le risque, le change, les taux négatifs, l’Euro PP… tout a été passé au crible.
C’est sur la partie de l’avenir des taux négatifs que David Guyot, co-fondateur de Pandat est intervenu.
Un équilibre maintenu jusqu’ici
Jusqu’ici, les banques françaises, contrairement aux banques nordiques, ont très peu appliqué les taux négatifs sur les dépôts bancaires des entreprises. Malgré l’existence d’un certain équilibre du fait du choix des entreprises de diversifier leurs partenaires bancaires en réponse au refus de certaines banques d’accepter leurs dépôts, il faut s’attendre à un changement de situation.
Les actions de la BCE et l’avenir des taux négatifs
« L’équilibre risque d’être rompu » estime David Guyot : en effet diversifier ses partenaires et allonger la durée de ses placements ne va pas suffire. Mario Draghi l’a annoncé dernièrement, la BCE est prête à renouveler ses actions : le Quantitative Easing devrait continuer. Il faut ainsi s’attendre à une chute croissante des taux (Source : boursorama.fr). Alors, jusqu’à quand les banques françaises vont-elles réussir à faire des taux négatifs une exception ?
Dans ce contexte de difficulté de trouver les bons partenaires bancaires et les produits de placements adaptés, Pandat est toujours l’acteur qu’il vous faut : grâce à son panel de 70 partenaires bancaires, il saura vous trouver les meilleures opportunités du marché en vous proposant une vision globale de toute l’offre disponible pour votre entreprise.