Les Echos a sorti cette semaine un article spécial « La Fintech : nouvelle concurrence pour la gestion d’actifs » . Dans cet article, David Guyot, co-fondateur de Pandat, témoigne de son expérience de la rémunération des fonds monétaires et des alternatives qu’il offre avec Pandat.
Des concurrents mais aussi des partenaires pour les gestionnaires d’actifs
Les acteurs de la génération fintech se positionnent parfois en concurrence frontale avec les sociétés de gestion, y compris sur la clientèle institutionnelle.
« Alors que la rémunération des fonds monétaires est parfois négative aujourd’hui, notre plate-forme permet aux entreprises et institutions de trouver une alternative en accédant à des offres de comptes à terme ou de comptes courants rémunérés », explique ainsi David Guyot, cofondateur de Pandat, qui a collecté 3 milliards d’euros en 2016 sur des placements de trésorerie.
Aujourd’hui des particuliers peuvent décider d’investir dans des projets, des start-ups à partir de 20 €, tout comme des sociétés peuvent choisir de varier leur moyens de financement ou de placement. Ces plateformes telles que Lendix, Advize ou Pandat apportent l’innovation mais changent invraisemblablement le modèle qui a pu s’appliquer jusqu’à aujourd’hui. La facilité et la diversité des solutions sont une véritable valeur ajoutée. Il y en a pour tous les goûts, tous les projets et c’est là qu’est la force des ces nouvelles sociétés.
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