Ils reflètent avant tout une croissance des besoins de financement américains non couverts par une épargne nationale suffisante. Et ce, avec des difficultés croissantes pour faire appel à l’épargne étrangère, pour des raisons économiques et politiques. D’où des taux longs qui restent élevés depuis 3 ans malgré la baisse des anticipations d’inflation et l’assouplissement monétaire […]